À propos d’ Ïéronimous
Je suis un amoureux du Son.
Les perspectives spatiales et sonores sont les deux grands espaces qui m’ont, depuis toujours, nourri, apaisé et permis de garder le contact avec mon espace intérieur. Avec mon rire, ma voix est demeurée mon appui le plus précieux.
D’autre part, une tension spirituelle m’a amené à me trouver régulièrement dans la Présence de Maîtres de différentes traditions tibétaines prodiguant dans leur profonde compassion l’énergie et l’espace de la Sagesse Ordinaire. Leur influence sur moi n’a jamais desserrée son étreinte non plus sur la vitalité de l’espace ouvert auquel ils m’ont reconnecté. J’ai de même une profonde gratitude pour Amma qui a, dès le premier contact, fait de mes lourdeurs un feu de joie.
Que n’ai-je entendu, avec raison d’ailleurs, “Communique le plus simplement, va à l’essentiel, les visiteurs ne s’embarrassent plus de prose !”. C’est donc avec une outrecuidance naïve que j’intègre les lignes suivantes.
Les unes et les autres, de passage sur Gaïa, avons chacun “un truc” bien à nous dans notre manière de nous manifester, de nous épanouir aussi, pour répondre à un besoin du monde, y trouver et y occuper pleinement notre place, et ceci on ne peut plus simplement et naturellement, sans rien devoir forcer. Cela nous singularise sans pour autant nous permettre de tirer orgueil d’Être ce que nous sommes…
Lorsque votre chat ronronne, son ronron n’est pas intentionnel, celui-ci est l’expression de son état, néanmoins son ronron active des sensibilités particulières de bien-être en vous. Pour ma part et de même, je ne fais rien de particulier lorsque je sonne, je sonne et j’aime sonner… Mais ce que mon expression sonore active sur tout ce qui est énergies et vibrations autour de moi et bien au-delà, bien que je n’en ai pas la conscience et encore moins le contrôle, est indubitablement, spontanément et naturellement personnalisé, approprié (mais personne ne vous demande de le croire ;-).
Et j’ajouterais, en ces temps d’apocalypse, que me référant aux paroles de Maxime LEFORESTIER
On choisit pas ses parents, on choisit pas sa familleOn choisit pas non plus les trottoirs de ManilleDe Paris ou d’Alger pour apprendre à marcherÊtre né quelque partÊtre né quelque part, pour celui qui est néC’est toujours un hasard.
Je me permettrais de nuancer cette affirmation : avant de naître, “on” vient de quelque part et “on” y retournera, et “on” a parfaitement choisi la configuration décrite…
Pour ma part, je suis une émanation d’un être qui appartient au peuple cristal et multidimensionnel connu sous le nom de Hathor. C’est un souhait puissant, joyeux et amoureux qui , certainement comme vous, m’a permis de venir m’incarner parmi vous de façon à faire certaines expériences et à apporter ma touche particulière au tableau du moment.
Un processus qui a pris un certain nombre d’années a permis d’activer les ressources dont je suis porteur et d’assumer enfin ma fonction de “Faisceau-Maître”, celle-ci consistant à simplement diffuser certaines fréquences sous forme sonore tendant à harmoniser et à pacifier l’environnement direct mais pas seulement, fidèle à l’engagement des Hathors pour le soutien à Gaïa ainsi qu’à notre humanité dans une phase, peut-être, délicate de son évolution.
Je vous livre brièvement mon cheminement dans le Chant Diphonique et ce qui motive mon action dans cette même expression.
Itinéraire
Ma rencontre avec le Chant Diphonique, bien que fortuite, a répondu à un désir. C’est grâce à Tran Quang Haï, que j’ai pu m’y initier en 2002. J’ai assidûment suivi des ateliers, et nombre de stages pour finalement développer ma propre diphonie, en m’inspirant certainement de différents pratiquant(e)s.
Démarche
S’il ne m’avait pas été confirmé la puissance effective de ces fréquences, je me serais juste contenté d’explorer cette dimension sonore et de savourer en solitaire la joie et le plaisir qu’elle me procure. L’évidence de son partage s’est imposée, d’où la génèse du projet Nectar Vibratoire ©, et c’est avec un immense plaisir que je vous propose de vous y connecter.